Mettons en lumière une autre des nombreuses organisations partenaires qui collaborent à la réussite du cinquième Congrès international sur les aires protégées marines (IMPAC5). Aujourd’hui, nous souhaitons vous présenter la Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP), l’une des deux organisations hôtes du Congrès.
Depuis près de 60 ans, la SNAP est le principal porte-parole du Canada sur le terrain pour les aires protégées dans l’océan et sur terre. La SNAP a joué un rôle clé dans l’établissement et la gestion de certaines des aires marines protégées (AMP) les plus importantes et les plus vulnérables du Canada, notamment les récifs d’éponges de verre de la Colombie-Britannique, le chenal Laurentien au large des côtes de Terre-Neuve-et-Labrador, le banc de Sainte-Anne dans les Maritimes et le Banc-des-Américains dans le golfe du Saint-Laurent.
Guidée par un cadre de réconciliation et les meilleures informations disponibles issues de la science actuelle et du savoir traditionnel, la SNAP travaille en collaboration avec les gouvernements autochtones, les groupes de conservation, les scientifiques, l’industrie et les décideurs pour soutenir la création et la gestion d’aires marines protégées efficaces d’un océan à l’autre.
Dans le cadre de son programme Océans, la SNAP préconise les aires marines protégées au Canada depuis plus de 20 ans. Sa vision pour les océans du Canada est simple : des AMP en plus grand nombre, de meilleure qualité et aux bons endroits.
